par Manon Ricou le 2 février 2023
Sur un mois de QVEMA, Isabèle Chevalier, Anthony Bourbon, Delphine André, Jean-Pierre Nadir, Marc Simoncini et Eric Larchevêque ont découvert de nombreux projets qu’ils ont jugés prometteurs ou non. Cette semaine encore, sept entrepreneurs sont venus dans l’espoir de développer leur entreprise grâce aux financements d’investisseurs. Retrouvez l’épisode gratuitement sur 6play dès maintenant.
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Des idées innovantes
Clément Baldelldou et James Taylor ont fondé Capillum, un projet porteur de sens qui transforme les cheveux récupérés chez les coiffeurs partenaires en tapis de paillage pour les cultures végétales. Ces alternatives aux bâches en plastique permettent d’économiser de l’eau, mais également de lutter contre les nuisibles de manière totalement naturelle. Grâce à QVEMA, ils espèrent pouvoir étendre leur activité à l’international et c’est pourquoi ils acceptent la proposition d’Eric et Isabèle.
Pour le prochain projet, les investisseurs pourraient bien se laisser tromper par les apparences. My Eli, fondé par Ludivine Romary, est né d’un projet d’étude à l’origine avant de devenir une réelle start-up innovante. Ses bijoux connectés sont à la fois élégants, discrets et utiles. Grâce à une simple pression, ils permettent d’envoyer un message d’alerte à ses proches en cas d’agression, tandis qu’une double pression permet de les rassurer. Malgré un sujet bien maîtrisé, aucun investisseur ne souhaite s’engager.
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Des projets sans investisseurs
Amies d’enfance, Lisa Soujoy et Anouck Le Terrier ont créé la marque Dijo il y a trois ans pour aider les gens à se sentir mieux dans leur tête et avec leur corps. Suite à un problème de santé, elles se sont rendues compte que le ventre régissait pratiquement tout le corps. Elles ont alors imaginé des solutions à base de probiotiques afin de réguler cet organe essentiel. Leur objectif est de faire du ventre un enjeu de santé publique et de Dijo la référence du ventre au niveau mondial. Si Delphine et Eric se positionnent, Lisa et Anouck décident de refuser leurs offres qu’elles estiment trop élevées.
Avec le projet Emova de Gaël Seydoux, les investisseurs vont rencontrer leur double digital. Grâce à une dizaine de caméras fixes, ils ont pu créer un avatar plus ou moins ressemblant, provoquant même le plus gros fou rire de la saison 3 de QVEMA. C’est aussi pour cette raison que Gaël espère pouvoir réaliser une levée de fonds afin de continuer à développer ses technologies et que l’image soit plus technique. Cependant, pour différentes raisons, les investisseurs préfèrent ne pas prendre part à son aventure futuriste. Pour Mithula et Niroshy Panchalingam, le dénouement est le même pour leur projet Cake Master : un kit prêt à l’emploi pour créer soi-même des classiques de pâtisserie.